Re: La nature de métamatière et la libération anticipée |
Objet : Re: La nature de métamatière et la libération anticipée par ClaudeDB sur 13/12/2010 07:00:06 Citation : J'adore l'expression 'masturbation intellectuelle', lol , ça me rapelle mon prof de philo. Actuellement, l'évolution humaine est dominée par la Science et sa déontologie : la matérialité. Il n'en a pas toujours été ainsi. Avant, au temps de l'Inquisition, elle était dominée par la Croyance. Les croyants de l'époque ont marginalisé le génie en Science qu'était Gallilé. Pour avancer durablement et sereinement, l'évolution humaine a besoin d'un moteur et d'un gouvernail crédibles l'un par rapport à l'autre. Le moteur, c'est la Science. Le gouvernail, c'est la Croyance. Quand l'évolution humaine se sert seulement du moteur Science elle marginalise le guide Croyance et sa hiérarchie. Elle avance certes mais au hasard et finit dans une impasse : le dérèglement climatique. Quand l'évolution humaine se sert seulement du guide Croyance, elle marginalise le moteur Science et sa hiérarchie ; Galilée en a fait les frais. L'évolution humaine n'avance pas. C'est dangereux pour une évolution qui par définition a un besoin vital d'avancer. C'est le marasme de l'Inquisition. La Science est un moteur. Elle a vocation a faire avancer. Elle n'a pas vocation à voir loin. Elle n'a pas les moyens et les outils matériels pour voir loin, éternellement loin. Elle est soumise au preuves matérielles et à la performance de ses outils matériels. Elle voit à peine plus loin que le bout de son nez : le téléscope hubble !! La Croyance elle n'est pas tributaire des preuves matérielles ni de la performance des outils matériels. Ses preuves sont intelligentes. Son outil est métamatériel : l'intelligence. La performance de l'intelligence permet de sonder sans problème le fin fond de notre univers de matière. Elle peut aussi sortir de notre univers de matière et c'est de cette position quelle a visionner l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. |